Bienvenue sur ce blog dont le but est de montrer la dangerosité du métier de Policier à travers des articles de presse, de vidéos et de diaporamas.

Plus de cinq mille d'entre eux sont blessés chaque année en service. Une tendance en hausse.

Aucune des missions auxquelles ils prennent part n'est sans risque.

De même, les militaires de la Gendarmerie Nationale et les agents des Douanes et des Polices Municipales sont soumis aux mêmes dangers. Désormais, le blog s'ouvre à ces autres composantes de la sécurité intérieure.




lundi 26 septembre 2011

Avignon (84) : Il mord un agent et casse la voiture de police

Arrestation mouvementée, samedi à 23heures, pour la police municipale d’Avignon. Parce qu’il renversait les poubelles de la place Pie, un Avignonnais de 21 ans est arrêté.

Ivre, il doit être conduit à l’hôpital, comme l’impose la loi. Mais une fois sur place, le jeune homme disjoncte. Il se jette par terre, tente de frapper les policiers et doit être ramené de force au commissariat.

En route, le forcené brise la vitre arrière du véhicule d’un coup de pied, crache sur les agents et les menace de représailles. Il parvient même à mordre la cuisse d’un policier.

Menotté dans le dos et les pieds entravés, il est finalement placé en dégrisement, puis en garde à vue, jusqu’à hier midi. Il a expliqué qu’il n’arrivait plus à se maîtriser dès qu’il buvait, ce que semble confirmer son passé de violence. Il sera jugé le 8 novembre pour violence sur agent de la force publique.

source : Vaucluse Matin (26 septembre 2011)

Aubervilliers (93) : un policier percuté volontairement par un deux roues

Un policier de la brigade anti-criminalité (BAC) a été volontairement percuté dimanche, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), par un jeune homme circulant en deux roues qu'il tentait d'appréhender, a annoncé la préfecture à l'AFP. Selon les premiers éléments, le jeune homme était suspecté d'un vol à la portière perpétré quelques instants plus tôt. L'unité de la BAC a tenté de l'arrêter, le suspect percutant le policier pour essayer de s'enfuir avant d'être arrêté par les autres agents, selon la même source. Le policier, sérieusement blessé mais dont les jours ne sont pas en danger, a été conduit à l'hôpital Georges Pompidou à Paris. Le préfet de Seine-Saint-Denis Christian Lambert s'est rendu sur place.

source : TF1.fr (25 septembre 2011)

mercredi 14 septembre 2011

Loos (59) : Un motard de police blessé lors d'un accident de la route

Hier vers 18 h, Tifanny, 18 ans, marche rue Georges-Potié à l'angle de la rue du Maréchal-Joffre, à Loos, lorsqu'une Saab passe devant ses yeux. « La voiture a grillé le stop (de la rue Joffre), explique-t-elle, au moment où arrivait la moto (rue Potié). Le pilote a été surpris, il a percuté la voiture, sa tête a heurté le pare-brise, il est passé au-dessus, puis il s'est retrouvé au sol. Il ne bougeait plus. » La victime est un motard policier du service d'ordre public départemental. Il était en patrouille rue Potié. La Saab, elle, le précédait sur le même chemin lorsque son conducteur a voulu faire demi-tour, en profitant du carrefour avec la rue Joffre. « J'ai tourné, j'ai juste entendu des cris, mais je ne l'ai pas vu », explique l'automobiliste, indemne et inquiet pour le motard.

Ce dernier a été conduit au déchoquage par les pompiers et le SAMU. Il a repris connaissance. Le conducteur de la Saab n'a pas été interpellé, les dépistages d'alcoolémie et de stupéfiants étant négatifs. Il fera l'objet d'une procédure accident « classique ». La rue Potié, où passent six lignes de bus, a été fermée durant plus d'une heure.

source : La Voix du Nord (14 septembre 2011)

Mulhouse (68) : Incendie au poste de police

La nuit de lundi à mardi a de nouveau été émaillée par des incidents sporadiques dans le quartier de Bourtzwiller. Le plus grave s’est déroulé peu après minuit, lorsque deux cyclomoteurs enflammés ont été poussés contre le garage du poste de police municipale de la rue de Bennwihr.

Prévenus par des passants, les agents ont sorti tant bien que mal les véhicules avec l’aide de la police nationale et des pompiers. Dans la manœuvre, huit d’entre eux ont inhalé des fumées et quatre ont dû être conduits à l’hôpital. La porte du garage, un véhicule et la toiture du bâtiment ont été endommagés.

Dans un communiqué, le syndicat Alliance Police Nationale a salué leur « abnégation », demandé des renforts à Mulhouse, et indiqué qu’il ne se satisferait pas de « mesurettes ».

Durant la même nuit, les pompiers de Mulhouse ont également éteint un feu de voiture à 21 h 40 rue Brossolette et l’incendie de deux véhicules à 20 h 25 rue du Ban.

source : L'Alsace.fr (14 septembre 2011)

La Seyne-sur-Mer (83) : Il blesse 3 policiers en voiture

Trois fonctionnaires de police du commissariat de La Seyne-sur-Mer dans le Var ont été blessés mardi vers 18h30 lorsqu'un véhicule a délibérément percuté leur véhicule banalisé, dans lequel se trouvait un homme interpellé, a-t-on appris de sources concordantes. "Les policiers qui venaient d'interpeller un individu soupçonné dans une affaire de stupéfiants ont été délibérément percutés par un véhicule qui leur a foncé dessus", a déclaré un magistrat du parquet.

Les trois policiers, dont la vie n'est pas en danger, ont été transportés par les sapeurs-pompiers dans les hôpitaux de La Seyne-sur-Mer et de Font-Pré à Toulon, et à l'hôpital d'instruction des Armées Sainte-Anne. L'homme interpellé a été légèrement blessé.

La collision a eu lieu juste au moment où le véhicule de police allait entrer dans la cour du commissariat. Selon une source judiciaire, aucun lien n'a pour l'instant été établi entre l'agresseur des policiers, qui a été placé en garde à vue pour "tentative de meurtre", et l'homme interpellé.

source : Europe 1 (13 septembre 2011)

mardi 13 septembre 2011

Vernou-la-Celle (77) : Il vole un bulldozer et blesse un policier

En Seine-et-Marne, un conducteur a foncé avec un bulldozer volé sur une voiture de police.

Un policier a été blessé dans la nuit de dimanche à lundi par un conducteur qui a foncé avec un bulldozer sur une voiture de patrouille à Vernou-la-Celle (Seine-et-Marne).

Sommé de s'arrêter pour un contrôle de routine, le conducteur a fait mine d'obtempérer
avant de reculer brutalement. L'engin a alors écrasé l'avant de la voiture de police.

Selon une source policière, l'agression s'est produite lundi matin vers 02H45 lorsqu'un conducteur "qui avait volé le véhicule, a reculé délibérément sur la voiture" (de la police) au moment où "les collègues l'ont intercepté".

Une fonctionnaire de police a été blessée au genou à la suite de l'impact, mais ses jours ne sont pas en danger. Les autres policiers s'en sont sortis indemnes.

La Sûreté départementale de la Seine-et-Marne a été chargée de l'enquête.

source : France 3 (13 septembre 2011)

Vétraz-Monthoux (74) : Il frappe un policier avec un manche de guitare

Dimanche dernier en fin d'après-midi, les policiers sont intervenus au domicile d'un individu en crise de démence que les médecins du Samu n'étaient pas parvenus à calmer. Retranché dans une chambre de l'appartement, le jeune mineur s'est montré agressif en frappant un premier policier à la tête avec un manche de guitare et en aspergeant un second à l'insecticide.

Le coup porté avec l'instrument à la tête du policier a entraîné dix jours d'interruption de travail pour ce dernier.

Le mineur a été maitrisé et transporté à l'hôpital psychiatrique cantonal de Genève.

source : Le Dauphiné Libéré (13 septembre 2011)

Eragny-sur-Oise (95) : un policier renversé par un automobiliste lors d'un contrôle

Un policier a été blessé lundi à Eragny-sur-Oise (Val-d'Oise) après avoir été renversé par une voiture dont le conducteur s'est soustrait à un contrôle d'identité et a pris la fuite, a-t-on appris de source policière.

Blessée au visage et aux jambes, la victime a été transportée dans un hôpital du département mais ses jours ne sont pas en danger, a précisé cette source.

Le conducteur présumé, un homme d'une quarantaine d'années soupçonné de vol, a été interpellé peu de temps après les faits dans une autre ville du Val-d'Oise et placé en garde à vue.

Son véhicule était "faussement immatriculé", selon la source policière.

source : AFP (12 septembre 2011)

lundi 12 septembre 2011

Mulhouse (68) : violents affrontements - six policiers et un gendarme blessés

Les faits trouvent leur origine dans la journée de jeudi avec un conflit entre deux familles domiciliées dans le quartier de Bourtzwiller (secteur de Brossolette au nord de Mulhouse), l’une d’origine tchétchène et l’autre maghrébine.

Vendredi, à la sortie d’un mariage tchétchène à la mosquée Koba rue Pierre-Brossolette, un groupe de jeunes agressent verbalement les Tchétchènes. Le ton monte. Samedi, un peu avant 18h, la brigade anti-criminalité du commissariat central intervient dans le quartier car les deux groupes antagonistes sont en train de s’affronter. Dans celui des Tchétchènes — qui compte une cinquantaine de personnes — l’un d’eux tire à l’aide d’un fusil à canon scié en direction du groupe rival. Plusieurs coups de feu sont entendus émanant peut-être d’autres tireurs.

La BAC interpelle le tireur identifié, mais l’arrestation se déroule mal puisque les Tchétchènes tentent de libérer le tireur. La police use alors de gaz lacrymogène et de Flash-Ball et quitte les lieux avec le tireur interpellé qui va être placé en garde à vue au commissariat.

Durant l’affrontement entre les deux groupes, deux jeunes hommes de 18 et 20 ans (un dans chaque camp) sont blessés par arme blanche (un sabre aurait été utilisé) et transportés au centre hospitalier par les sapeurs-pompiers.

Toujours samedi après-midi, les Tchétchènes auraient passés à tabac un des jeunes qui les auraient insultés vendredi à la sortie de l’établissement cultuel musulman

Samedi, au moment de la prière de l’après-midi, le groupe de cinquante Tchétchènes, se rend à la mosquée, peut-être pour tenter une explication. Mais comme ils se présentent à l’entrée armés (battes de base-ball, sabres et armes à feu), derechef les échanges dégénèrent avec la bonne centaine de jeunes entourant la mosquée. C’est sur l’esplanade de celle-ci puis à l’intérieur que les Tchétchènes se réfugient alors. Une trentaine de fidèles qui se trouvaient dans la mosquée y resteront bloqués jusqu’à 21h30.

Arrivés en nombre, policiers et gendarmes se trouvent coincés entre deux feux : les Tchétchènes qu’il s’agit de faire sortir de la mosquée et la centaine de jeunes du quartier qui jettent pierres et cocktails Molotov sur les forces de l’ordre lesquelles répliquent à coups de Flash-Ball et de gaz lacrymogènes.Elles compteront sept blessés dans leurs rangs, six policiers et un gendarme.

Les Tchétchènes sont finalement « exfiltrés » de la mosquée par la force publique avec l’intention de les escorter jusqu’au commissariat, ce qui n’a pas été possible, les représentants de l’ordre ayant été visiblement débordés. Deux voitures ont été incendiées au bout de la rue Brossolette, non loin de la mosquée Koba et du collège de Bourtzwiller.En plus de l’arrestation de l’individu au fusil, la police a interpellé une personne pour jet de cocktail Molotov.

source : Les Dernières Nouvelles d'Alsace (12 septembre 2011)

Corbeil-Essonnes (91) : Le chauffard force un contrôle routier - trois policiers blessés

Trois policiers dans une voiture de patrouille et un automobiliste en fuite ont été blessés lors d'un accident durant la nuit de samedi à dimanche à Corbeil-Essonnes (Essonne), a-t-on appris dimanche matin de sources concordantes.

Vers 1H10, le fuyard, un homme de 18 ans, déjà connu des services de police pour défaut de permis de conduire, a refusé le contrôle d'une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) alors qu'il venait de griller un feu rouge dans le quartier des Tarterêts.

Après avoir semé la voiture de la BAC, c'est en prenant une route en sens unique à contresens qu'il a percuté une patrouille de police appelée en renfort.

Lors de ce violent choc entre les deux voitures, deux policiers ont eu chacun un bras cassé et le troisième souffre d'une entorse du genou. Le fuyard, quant à lui, souffrirait d'une compression pulmonaire, a indiqué une source policière. Leurs jours ne sont pas danger. Les deux policiers aux bras fracturés ont dû être opérés. Le fuyard était toujours hospitalisé dimanche, alors que le troisième policier est sorti de l'hôpital, a précisé une source judiciaire.

A la suite de l'accident, plusieurs individus ont jeté des projectiles sur les policiers et les sapeurs-pompiers sans qu'il n'y ait de nouveaux blessés.

L'enquête a été confiée à la sûreté départementale.

source : Le Parisien (12 septembre 2011)

samedi 10 septembre 2011

Bourg en Bresse (01) : torse nu et en caleçon il se rebelle contre les policiers

Jeudi soir, un peu avant minuit, un homme en état d’ébriété très avancée était contrôlé par une patrouille de police, rue de la République, à Bourg. L’homme, âgé de 27 ans, était torse nu et en caleçon, son short baissé jusqu’aux chevilles. Mais il a abreuvé les policiers d’insultes et violemment résisté à son interpellation, allant jusqu’à leur donner des coups de pieds. Conduit à l’hôpital, il est de nouveau entré dans une rage folle et les policiers ont même dû le plaquer au sol pour le maîtriser. Il devrait être jugé lundi pour outrages, rébellion et violences sur dépositaires de l’autorité publique.

source : Le Progrès de Lyon (10 septembre 2011)

vendredi 9 septembre 2011

Angers (49) : Altercation entre des familles de prévenus et des policiers

Ce vendredi soir, vers 18 h, des familles angevines et des proches, qui attendaient le transfert de huit des leurs du palais de justice d'Angers à la maison d'arrêt, ont échangé des coups avec des policiers.

Dans l'après-midi, ces habitants du quartier des «Longs Boyaux» à Angers, plus d'une centaine, avaient envahi la salle d'audience où devait se dérouler le procès. Mais huit des neuf personnes, âgées de 19 à 55 ans, arrêtées, mardi dernier, pour un important trafic de stupéfiants, ont sollicité un délai pour assurer leur défense. Leur procès a alors été reporté au 6 octobre.

Tout a basculé vers 18 h lorsque le substitut du procureur a quitté le palais de justice en voiture. Il a dû passer devant les familles et les proches qui faisaient le pied de grue. Le magistrat ayant été invectivé, les policiers sont intervenus. Alors qu'un fonctionnaire de police empoignait une femme, les proches de celle-ci ont tenté de la récupérer. Des coups ont alors été échangés. Rapidement, te quartier a été quadrillé par les forces de l'ordre.

source : Ouest France (09 septembre 2011)

jeudi 8 septembre 2011

Eaux-Bonnes (64) : Un gendarme se tue en exercice

Didier Laplaza, sous-officier du PGHM de 42 ans, est mort, hier, lors d'un exercice

Un nouveau drame est venu endeuiller le PGHM (peloton de gendarmerie de haute montagne) d'Oloron-Sainte-Marie. Hier après-midi, vers 13 h 30, le maréchal des logis-chef Didier Laplaza est décédé après avoir fait une chute de 80 mètres à La Pène Sarrière, un sommet de 1944 mètres au-dessus de Gourette (commune des Eaux-Bonnes). Le militaire, âgé de 42 ans, participait à un exercice d'entraînement en montagne en compagnie de cinq autres gendarmes du PGHM sur la face est de La Pène Sarrière, dans des voies classiques équipées.

Chute en rappel

Lors de la descente en rappel, qu'il effectuait en premier, il aurait manqué un relais et s'est écrasé sur des barres rocheuses 80 mètres plus bas. Ses collègues ont aussitôt tenté de lui porter secours et ont donné l'alerte. L'hélicoptère de la Sécurité civile Dragon 64 a décollé à 13 h 43 de la base de Pau-Uzein avec à son bord une équipe du Groupe secours en montagne des pompiers et un médecin du Samu de Bayonne. À leur arrivée, ils n'ont pu que constater le décès de la victime, morte sur le coup.

Cette nouvelle a provoqué une très vive émotion au sein du groupement de gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques. Le colonel Thierry Rousseau s'est rendu sur les lieux du drame dès qu'il en a été informé et une cellule de soutien psychologique a été mise en place par la gendarmerie.

Didier Laplaza était bien connu dans le milieu de la montagne. « C'était un alpiniste aguerri et une personne adorable », confie un secouriste, très ému, qui le côtoyait depuis plusieurs années. Le sous-officier avait intégré le PGHM d'Oloron-Sainte-Marie en janvier 2001, après avoir exercé pendant longtemps à la brigade d'Urdos. « C'était un gars discret, d'un abord très agréable et efficace dans les secours », dit de lui Jean-Louis Aranjo, président de la Société du secours en montagne des Pyrénées-Atlantiques et responsable national de la commission secours en montagne à la FFME (Fédération française de montagne et d'escalade).

Aguerri et dévoué

Reconnu pour son dévouement et son professionnalisme, Didier Laplaza avait été décoré à maintes reprises. En novembre 2003, il recevait la médaille du secours en montagne des mains de Jean-Louis Aranjo. En septembre, il était à nouveau honoré de cette distinction. Le même jour, un vibrant hommage était rendu à Philippe Laperne, un ancien membre du PGHM décédé en 1996 dans des circonstances équivalentes, lors d'un entraînement sur la face nord de l'aiguille du Plan, dans le massif du Mont-Blanc, où il préparait son diplôme de guide aspirant. La caserne de Saint-Pée porte son nom depuis 1998. Enfin en novembre 2010, Didier Laplaza était à nouveau décoré de la médaille militaire pour son dévouement dans le sauvetage de trois spéléologues restés coincés plusieurs jours dans le gouffre de Romy, à la Pierre-Saint-Martin, à Noël 2009. Hier soir, le préfet des Pyrénées-Atlantiques François-Xavier Ceccaldi se disait très touché par sa disparition. « C'est toujours un choc, mais ce qui rend la douleur encore plus grande, c'est lorsque l'on sait que ce sont des sauveteurs qui sont frappés, des gens qui veillent à la sécurité de nos concitoyens, des militaires qui ne comptent ni leur temps, ni leurs efforts physiques et moraux ». Didier Laplaza laisse derrière lui une compagne avec qui il était pacsé.

Le parquet a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de ce funeste accident. Les investigations ont été confiées aux gendarmes de la compagnie et de la brigade de recherches d'Oloron-Sainte-Marie.

source : Sud Ouest (07 septembre 2011)

Concarneau (29) : Un policier blessé au cours d'une intervention

La nuit dernière, à Concarneau, un policier a été blessé par trois individus au volant d'un véhicule volé. D'après les premiers éléments, ils auraient tenté de forcer un barrage de police, mis en place pour les interpeller, et renversé le policier. Les jours de ce dernier ne seraient pas en danger.
Deux des trois auteurs des faits auraient été interpellés. Le troisième est toujours en fuite. L'enquête est en cours.
Le blessé a été conduit au centre hospitalier de Quimper. Pascal Mailhos, préfet du Finistère, en visite aujourd'hui à Concarneau, s'est rendu au commissariat ce matin, tout comme le maire de Concarneau André Fidelin, afin de rencontrer les policiers.

source : Le Telegramme (08 septembre 2011)

Les Mées (04) : Le corps du gendarme a été retrouvé

Le corps du plongeur de la brigade mixte côtière et fluviale de la gendarmerie de Martigues, qui avait disparu la semaine dernière dans le canal des Mees, a été retrouvé hier soir. Une patrouille de gendarmerie a fait la macabre découverte, à quelques centaines de mètres du site où le maréchal des logis Chef Khaled Bentabet avait effectué une plongée dans le cadre d’une recherche d’arme découverte par des agents d’EDF dans le canal. Ce plongeur aguerri, qui comptait à son actif des milliers de plongées, a vraisemblablement été aspiré dans une galerie sous marine.

Malgré plusieurs dizaines de plongées, la victime n’avait pu être retrouvée. Les gendarmes avaient même fait appel à des plongeurs spécialisés en spéléologie. En vain. Hier soir, ses collègues qui participent depuis le début aux recherches étaient sous le choc. Ils vont désormais tenter de comprendre les raisons de ce drame qui affecte une brigade très soudée. Une cérémonie militaire devrait se dérouler d’ici un jour ou deux. Khaled Bentabet était âgé de 44 ans. Il était père de famille et avait été affecté à Martigues il y a trois ans.

source : La Provence (07 septembre 2011)

Beauvais (60) : Policier tabassé à Saint-Jean

Autre affaire en cours, le 22 septembre, le tribunal correctionnel jugera les agresseurs présumés d’un policier du commissariat de Beauvais. Les deux jeunes gens d’une vingtaine d’années sont poursuivis pour avoir passé à tabac le major Thierry D., 48 ans, à l’issue d’un contrôle d’identité dans le quartier Saint-Jean.

En dépit de la gravité des faits, les deux hommes ont été remis en liberté à l’issue de leur garde à vue. Prise contre l’avis du parquet, la décision du juge des libertés et de la détention avait alors provoqué l’indignation des syndicats de police. A l’appel d’Unité SGP-Police, une cinquantaine de fonctionnaires ont même manifesté leur mécontentement, le 29 août, sur les marches du palais de justice.
Les faits remontent au 23 août. Ce jour-là, alors qu’il patrouille dans le quartier Saint-Jean, le major repère un scooter déclaré volé au pied de la tour Harmonie. Mais au moment où il s’approche du deux-roues, le policier est pris à partie par deux jeunes. Il essuie alors une avalanche de coups avant de s’écrouler. Ses agresseurs s’acharnent et lui assènent plusieurs coups de pied dans le ventre et au visage. Le policier s’en est finalement sorti avec trois dents cassées, un traumatisme crânien et une perte définitive de 35% de ses capacités auditives.

source : Le Parisien (08 septembre 2011)

mercredi 7 septembre 2011

Rouen (76) : Impressionnante course-poursuite - un Policier blessé

Une course-poursuite de près d’une heure a mis gendarmes et policiers à cran

A l’origine : une tentative de vol par effraction à Saint-Martin-du-Vivier, au nord-est de Rouen. Repéré, l’individu, au volant d’une R19 volée dans la Somme, a pris la fuite en trombes. Déterminé à ne pas se laisser attrapé, il a dévalé l’A28, a refusé de s’arrêter à un contrôle près du tunnel de la Grand’Mare, a percuté un véhicule de la Dirno avant de pénétrer dans Rouen et rouler à contre-sens pour rejoindre le boulevard industriel. Sur un parking, rue Newton, à Saint-Etienne, l’homme a essuyé un tir de flash-ball avant de foncer sur un policier, le blessant à la clavicule, puis a disparu. La voiture a été retrouvée, pas l’homme. Une enquête est en cours.

source : Tendance Ouest Rouen (07 septembre 2011)

Agde (34) : Sous l’empire de l’alcool, il frappe un policier au visage

Dans la nuit du samedi 27 au dimanche 28 août, à 4 h 30 du matin, un Agathois de 32 ans qui circulait dans son véhicule à vive allure a failli percuter la voiture sérigraphiée de la police nationale, au niveau du rond-point des Joutes, sur la route de Sète, à Agde.

Les agents lui ont immédiatement intimé l’ordre de s’arrêter et le chauffard s’est exécuté. Mais, lors du contrôle, il présentait visiblement tous les signes caractéristiques de l’ivresse publique et manifeste.

Refusant d’être soumis à l’éthylotest, il est alors sorti de ses gonds, outrageant copieusement les forces de l’ordre qui ont immédiatement appelé des renforts.

Arrivés sur place, les policiers de la brigade anti-criminalité (Bac) l’ont menotté non sans mal avant de le conduire au commissariat central. Là, sa mère, avisée de son arrestation, l’attendait et a tenté de le calmer. En vain. À peine sorti de la voiture de police, l’individu a une nouvelle fois vu rouge, frappant à coup de pied le véhicule administratif, avant de sauter sur un policier de la Bac (brigade anticriminalité) à qui il a asséné plusieurs coups de poing au visage et des coups de pied au niveau de la rotule.

Placé manu militari en garde à vue, il a été déféré puis écroué en attente de sa comparution immédiate.

Quant au policier, il a eu six jours d’interruption totale de travail et cinq jours d’arrêt de travail.

source : Le Midi Libre (07 septembre 2011)

lundi 5 septembre 2011

Cognac (16) : Un Policier blessé

Il a 29 ans et avait déjà joué des poings le 15 août, en croisant un «ami» qui lui doit de l’argent. Vendredi soir, cet homme déambulait place François-1er, à Cognac, alors que Coup de chauffe battait son plein. Il a, à nouveau, croisé celui qui ne l’a pas remboursé. Et comme il avait beaucoup bu, il s’est échauffé: il s’est jeté sur l’homme, l’a roué de coups.

Les policiers, particulièrement mobilisés lors de la fête, étaient dans les environs. Ils ont empoigné l’agresseur, qui s’est débattu. Ils n’ont pas été trop de trois pour parvenir à le maîtriser. Un policier a été blessé au doigt dans la bagarre: une interruption de travail de quinze jours et une opération programmée aujourd’hui, à l’hôpital de Girac. Le Cognaçais très énervé a fini la nuit en cellule de dégrisement et placé quelques heures en garde à vue.

Libéré samedi, il devra s’expliquer le 4 novembre devant le tribunal correctionnel.

source : Charente Libre (05 septembre 2011)

samedi 3 septembre 2011

Grand Santi (973) : Un gendarme blessé par balle sur un site d'orpaillage

Hier, un banal contrôle d'un site d'orpaillage illégal a tourné au drame en Guyane. Le bilan est lourd : un homme tué et un gendarme blessé lors de l'échange de coups de feu entre un orpailleur et les forces de l'ordre.

Le drame s'est déroulé vers 10 heures hier (15 heures à Paris) lors d'une "opération de lutte contre l'orpaillage illégal" menée par les forces armées et la gendarmerie sur Grand Santi. Une commune isolée de l'ouest guyanais entre fleuve et forêt à proximité du Suriname. Un écosystème victime de l'orpaillage illégal, un véritable fléau.

Un tireur isolé...


Le groupe de cinq gendarmes progressait vers une zone de vie, découverte à proximité du site d'exploitation d'or illégal préalablement investi "sans incident", les gendarmes ont fait "l'objet de tirs par arme à feu d'un individu posté dans la végétation", selon le préfet et le procureur de Guyane. Leur riposte aurait dans un premier temps fait "fuir" le tireur.

Un gendarme du groupe parti en quad chercher du renfort aurait alors été "à nouveau pris à parti" et "blessé" par le même tireur. Il aurait riposté "en état de légitime défense", touchant mortellement le tireur. Le gendarme présente une "plaie au torse causée par une balle de calibre 38 sous le gilet pare-balles." Il a été évacué en hélicoptère mais "ses jours ne seraient pas en danger" selon une source gendarmerie.

source : Le Telegramme (03 septembre 2011)

Grand Santi (973) : Un gendarme blessé par balle sur un site d'orpaillage

Hier, un banal contrôle d'un site d'orpaillage illégal a tourné au drame en Guyane. Le bilan est lourd : un homme tué et un gendarme blessé lors de l'échange de coups de feu entre un orpailleur et les forces de l'ordre. Le drame s'est déroulé vers 10 heures hier (15 heures à Paris) lors d'une "opération de lutte contre l'orpaillage illégal" menée par les forces armées et la gendarmerie sur Grand Santi. Une commune isolée de l'ouest guyanais entre fleuve et forêt à proximité du Suriname. Un écosystème victime de l'orpaillage illégal, un véritable fléau. Un tireur isolé... Le groupe de cinq gendarmes progressait vers une zone de vie, découverte à proximité du site d'exploitation d'or illégal préalablement investi "sans incident", les gendarmes ont fait "l'objet de tirs par arme à feu d'un individu posté dans la végétation", selon le préfet et le procureur de Guyane. Leur riposte aurait dans un premier temps fait "fuir" le tireur. Un gendarme du groupe parti en quad chercher du renfort aurait alors été "à nouveau pris à parti" et "blessé" par le même tireur. Il aurait riposté "en état de légitime défense", touchant mortellement le tireur. Le gendarme présente une "plaie au torse causée par une balle de calibre 38 sous le gilet pare-balles." Il a été évacué en hélicoptère mais "ses jours ne seraient pas en danger" selon une source gendarmerie.
source : Le Telegramme (03 septembre 2011)

vendredi 2 septembre 2011

Chambéry (73) : Des pierres sur des policiers

Mercredi, vers 23 h 30, une patrouille passe dans la rue du Mâconnais, sur les Hauts-de-Chambéry. C’est à ce moment-là qu’un garçon de quinze ans vient « les narguer et les couvrir d’insultes », assurent les policiers. Ces derniers interpellent le mineur. Il est 23 h 35.

Les policiers disent alors avoir vu arriver des individus portant des cailloux. Un caillassage commence.

L’un des fonctionnaires reçoit un caillou. Il est blessé à la main. La patrouille repart ensuite au commissariat pour placer le jeune homme en garde à vue.
Un incident étrangement similaire la veille

La veille, quasiment à la même heure et au même endroit, un incident étrangement similaire avait eu lieu. À 23 h, mardi, rue du Pré de l’Âne, deux adolescents de quinze et seize ans avaient été interpellés après avoir lancé des cailloux sur une voiture de police. Ils ont confirmé aux policiers qu’ils voulaient ainsi dénoncer l’arrestation de trois de leurs copains qui avaient volé des bouteilles de whisky dans un magasin du centre-ville.

source : Le Dauphiné Libéré (02 septembre 2011)

Montpellier (34) : Arrêté pour vol au Millénaire, il frappe les policiers au tribunal

Dans notre édition d’hier, nous relations l’arrestation, par un équipage de la brigade anticriminalité (Bac), d’un garçon de 21 ans, alors qu’il sortait de la rue des Marels, au Millénaire. Le jeune homme avait été pris en possession d’un sac dans lequel se trouvait une livebox volée, plus tôt dans la journée, rue Flaugergues.

Hier, et à l’issue de sa garde à vue, il a été déféré au parquet, puis jugé et condamné à douze mois de prison, assortis d’un sursis. Las, la sanction ne lui a visiblement pas plu. Car sitôt son procès achevé, il s’est mis à frapper des policiers à coups de pieds et de poings, en blessant un assez sérieusement à un bras.

Résultat : à peine le cambrioleur avait-il franchi la porte du palais de justice qu’il a, à nouveau, été interpellé avant d’être placé en garde à vue. Il a ensuite regagné le TGI pour être présenté au procureur de la République.

source : Le Midi Libre (02 septembre 2011)