Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, vers 23 h 50, deux gardiens de la paix d’Argentan, route de Sées, ont contrôlé un véhicule à 79 km/h au lieu de 50. Au moment où il passait devant le véhicule, le policier a été percuté et renversé par le démarrage brutal de la voiture contrôlée. Accroché au capot, il est retombé une dizaine de mètres plus loin. L’automobiliste a pris la fuite en direction d’Alençon, tous feux éteints et à vive allure. Il venait de repasser son permis de conduire et avait consommé de l’alcool Hospitalisé à Alençon, le policier souffre de blessures aux bras et aux mains. Connu pour plusieurs antécédents liés aux délits routiers, et reconnu lors du contrôle, le conducteur (45 ans, sans profession) a été formellement identifié. Son signalement a été diffusé et lundi 20 août, en fin de matinée, il a été repéré et interpellé à Audierne (Finistère) par les gendarmes et placé en garde à vue. Rapatrié à Argentan, l’automobiliste a reconnu les faits. Il venait de repasser son permis de conduire et avait consommé de l’alcool ce soir-là. Sa garde à vue a été prolongée ce mardi : Il sera poursuivi pour violences volontaires avec arme sur personne dépositaire de l’autorité.source : Ouest France (21 août 2012)
Bienvenue sur ce blog dont le but est de montrer la dangerosité du métier de Policier à travers des articles de presse, de vidéos et de diaporamas.
Plus de cinq mille d'entre eux sont blessés chaque année en service. Une tendance en hausse.
Aucune des missions auxquelles ils prennent part n'est sans risque.
De même, les militaires de la Gendarmerie Nationale et les agents des Douanes et des Polices Municipales sont soumis aux mêmes dangers. Désormais, le blog s'ouvre à ces autres composantes de la sécurité intérieure.
Bande annonce
mardi 21 août 2012
Argentan (61) : Le conducteur renverse le policier
lundi 13 août 2012
Aix-en-Provence : deux policiers blessés à coups de bouteille
Deux policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) d'Aix-en-Provence
ont été agressés par de jeunes voleurs présumés, inconnus des services
de police, qu'ils tentaient d'interpeller dans le centre-ville dans la
nuit de samedi à dimanche. Vers 4 heures du matin, alors que les
fonctionnaires maîtrisaient un adolescent de 17 ans qui s'intéressait à
des véhicules en stationnement, son complice, âgé de 18 ans, a frappé
l'un d'eux sur le crâne à l'aide d'une bouteille de champagne pour
s'échapper.
Voyant qu'il était sur le point d'être arrêté à son tour, le même homme a alors assommé le second policier d'un violent coup de bouteille au visage. La victime devait être opérée lundi en vue d'une reconstruction faciale après s'être fait signifier un mois d'ITT. Arrêté dimanche après-midi à son domicile de Pertuis (Vaucluse), le jeune majeur a été placé en garde à vue avec le mineur au commissariat d'Aix-en-Provence. Ils devraient être déférés au parquet en début de semaine.
Selon le délégué zonal adjoint du syndicat Alliance, David Olivier Reverdy, «la BAC aixoise a déjà subi la perte de l'un des siens dans une fusillade à la Kalachnikov, ses membres sont visés régulièrement par des tirs d'armes à feu, face à des violences gratuites, seules des peines planchers peuvent dissuader des délinquants en perte de repères.» Dans un communiqué, Alliance dit «craindre que la disparition programmée des peines planchers et l'augmentation des libérations anticipées annoncées par le garde des Sceaux favorisent la multiplication de tels actes de violences contre les policiers».
Source : Leparisien
Voyant qu'il était sur le point d'être arrêté à son tour, le même homme a alors assommé le second policier d'un violent coup de bouteille au visage. La victime devait être opérée lundi en vue d'une reconstruction faciale après s'être fait signifier un mois d'ITT. Arrêté dimanche après-midi à son domicile de Pertuis (Vaucluse), le jeune majeur a été placé en garde à vue avec le mineur au commissariat d'Aix-en-Provence. Ils devraient être déférés au parquet en début de semaine.
Selon le délégué zonal adjoint du syndicat Alliance, David Olivier Reverdy, «la BAC aixoise a déjà subi la perte de l'un des siens dans une fusillade à la Kalachnikov, ses membres sont visés régulièrement par des tirs d'armes à feu, face à des violences gratuites, seules des peines planchers peuvent dissuader des délinquants en perte de repères.» Dans un communiqué, Alliance dit «craindre que la disparition programmée des peines planchers et l'augmentation des libérations anticipées annoncées par le garde des Sceaux favorisent la multiplication de tels actes de violences contre les policiers».
Source : Leparisien
samedi 4 août 2012
Romans-Sur-Isère (26) : Il agresse un policier et lui porte plusieurs coups
Le service des urgences de l’hôpital Drôme Nord de Romans a connu l’agitation mardi soir. Les policiers ont été appelés vers 19 heures par le personnel de l’établissement de santé car un homme, visiblement dans un état d’ivresse avancé, refusait d’attendre et semblait passablement énervé. Cinq jours d’ITT prescrits au policier blessé Une fois arrivés sur place, les policiers romanais ont demandé au quadragénaire de bien vouloir les suivre, mais ce dernier a refusé et s’est violemment rebellé, assenant plusieurs coups de poing au visage d’un fonctionnaire de police, à qui cinq jours d’ITT ont été prescrits. Placé en garde à vue, l’homme a reconnu les faits et assuré aux policiers qu’il se trouvait justement à l’hôpital afin de trouver une solution à son addiction à l’alcool. Il fera prochainement l’objet d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité devant le tribunal correctionnel de Valence.source : Le Dauphiné Libéré (02 août 2012)
Angoulême (16) : le passager d'un train mord les policiers
La police aux fontières a arrêté, hier, mercredi, à 19h30, un homme de 37 ans, dans un train en provenance de Poitiers et à destination de Bordeaux. L'homme, domicilié à Lormont, en Gironde, a refusé de descendre ses pieds d'un fauteuil, à la demande des contrôleurs de la SNCF. Il a ensuite mordu deux policiers de la police aux frontières, venus en renfort, avant d'être menotté et descendu du train en gare d'Angoulême. Il est actuellement placé en garde à vue.source : Sud Ouest (02 août 2012)
Paris (75) : trois policiers blessés lors d'une intervention à Barbès
Trois policiers ont été blessés jeudi soir près de la station de métro Barbès-Rochechouart, dans le XVIIIe arrondissement parisien, lors d'une intervention au cours de laquelle ils ont été «pris à partie» par une cinquantaine de personnes qui leur ont jeté des projectiles, selon une source policière. Des policiers de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) ont interpellé vers 20 heures sur la voie publique deux présumés voleurs à la tire, soupçonnés d'avoir dérobé un téléphone portable dans le métro. Une cinquantaine de personnes leur ont lancé «différents projectiles», dont des chaises, avant d'être dispersées par des renforts de police, d'après cette source. Des rapports et procès-verbaux (PV) de police, qu'a pu lire l'AFP, font état de «l'extrême agressivité» de ces personnes, précisant que les deux présumés voleurs ont «ameuté» la foule et ont pu s'enfuir, l'un étant menotté. Ces rapports font également état de «plusieurs centaines d'individus» regroupés lors des incidents dans la rue. Des projectiles les plus divers lancés sur les forces de l'ordre «Manches de bois, bouteilles en verre», «tables, morceaux de palettes de bois» ont été «lancés de toutes parts» sur les policiers, selon ces documents. Une «foule hostile» qui s'en est aussi prise à un véhicule de police sur lequel ont été lancés des «haltères» et des «pavés». Trois policiers ont été blessés lors de ces affrontements, a dit la source policière. L'un a été admis en observation à l'hôpital tandis que les deux autres ont obtenu une dizaine de jours d'ITT (incapacité temporaire totale), a-t-elle ajouté. Une enquête a été ouverte.source : Le Parisien (03 août 2012)
mercredi 18 juillet 2012
Rezé (44) : Fin de la course-poursuite - des policiers tabassés
La Seat roulait n'importe comment et son conducteur avait l'air bien jeune, trop pour avoir un permis, a pensé la brigade anticriminalité qui a voulu en avoir le coeur net. Il était 23 h, lundi, à Rezé, au sud de Nantes, lorsque cette patrouille de trois hommes s'est approchée de la voiture suspecte... qui a filé aussitôt. Le chauffeur s'est dirigé vers la commune voisine de Bouguenais, entraînant les policiers dans son sillage. La voiture s'est arrêtée sur un chemin menant à un camp de gens du voyage. Le jeune homme a sauté de la Seat et pris ses jambes à son cou. Il lui referme la portière sur la main La manoeuvre a obligé deux des policiers à mettre pied à terre à leur tour. Las. Un « comité d'accueil », composé d'une quinzaine de personnes, les a encerclés. Cris, insultes, menaces et les coups qui pleuvent sur un brigadier de 35 ans. Au sol, frappé à coups de pieds, il a perdu connaissance : traumatisme crânien, mâchoire cassée. Son collègue, à la carrure impressionnante, se débat lui aussi. Mais il parvient à immobiliser quelques secondes deux assaillants, l'un avec son bras, l'autre au sol ! Les renforts de police et de gendarmerie déboulent sur ces entrefaits. Le déferlement de violence n'a pris fin qu'à ce moment-là. Les policiers pointent leurs armes vers le groupe en furie, pour le repousser. Les assaillants s'enfuient Les deux hommes immobilisés ¯ un père de 51 ans et son fils de 22 ans ¯ ont été embarqués. Dans le parking de l'Hôtel de police, le fils a refermé brutalement une portière, fracturant la main d'un gardien de la paix. Il a également bousculé un adjoint de sécurité. Le brigadier est toujours hospitalisé, mais ses jours ne sont pas en danger. Son collègue de la Bac est ressorti de l'hôpital hier, après la visite du préfet et du directeur départemental de la sécurité publique, Philippe Cussac, qui a salué « la disponibilité et le courage de la brigade anticriminalité ». Le syndicat Alliance rappelle « que les collègues sont trop souvent blessés dans l'exercice de leur fonction ». Les gardes à vue du père et du fils ont été prolongées hier. Le fils, déjà condamné à de multiples reprises, pourrait être mis en examen pour « tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique », a confirmé Brigitte Lamy, procureure de la République de Nantes. Une qualification justifiée par « l'acharnement » dont a été victime le brigadier. Une enquête est ouverte pour violences et rébellion. Les membres du « comité d'accueil » sont activement recherchés.source : Ouest France (18 juillet 2012)
mardi 10 juillet 2012
Toulouse (31) : Le voleur se rebelle et plante la lame de son tire-bouchon dans la cuisse du policier
La fête du bac, pour les reçus, a été animée vendredi soir autour de Saint-Pierre, à Toulouse. Une ambiance bon enfant, largement alcoolisée, mais sans incident majeur. Sauf que les lycéens qui s'amusent ont également attiré des individus qui ne s'étaient pas déplacés pour fêter leur diplôme. L'un d'eux, âgé de 35 ans, avait l'intention de profiter de la fiesta et de la foule pour gagner de l'argent facilement. Et il a ainsi dérobé plusieurs sacs à mains avant d'être remarqué par une victime. La police a été alertée mais l'arrestation du suspect, place de la Daurade, n'a pas été simple, loin de là. Une patrouille de nuit de la compagnie de sécurisation a repéré le voleur et a voulu l'appréhender. Le premier policier a été frappé d'un coup de tête. Son collègue a immédiatement réagi et a tenté de ceinturer le suspect au sol. Dans ce corps à corps physique, le suspect a sorti un tire-bouchon et il a planté dans la cuisse du policier la petite lame qui sert, normalement, à préparer les bouteilles ! Et pendant ce temps, un autre individu a incité la foule à s'opposer à l'arrestation. Devenu suspect, il s'est à son tour opposé à son arrestation ce qui a donné lieu à une nouvelle confrontation musclée. Ramené au commissariat, cet homme de 44 ans ne s'est pas calmé puisque sa nuit en cellule a été très mouvementée. Il s'est en effet déshabillé et a tapissé les murs de sa geôle avec ses excréments… Son ami a lui fait un tour par l'hôpital pour soigner un poignet blessé lors de l'altercation avec les policiers. Lors de ses auditions devant les enquêteurs de permanence, il a dénoncé les violences policières, infirmées par des témoins mais il a refusé de reconnaître les vols de sacs malgré les témoignages des victimes. Après la prolongation de la mesure de garde à vue, les deux copains, qui portent le même nom mais sans lien familial, ont été présentés au parquet hier en fin de journée. Ils devraient être jugés dès cet après-midi devant le tribunal correctionnel, dans le cadre des comparutions immédiates.source : La Dépêche du Midi (08 juillet 2012)
dimanche 8 juillet 2012
Clermont-Ferrand (63) : Un policier, blessé d'un coup de tournevis au visage
En voulant interpeller dans la nuit de vendredi à samedi à Clermont-Ferrand, les auteurs présumés d’un cambriolage, un policier a été blessé d’un coup de tournevis au visage. Les hommes de la brigade anticriminalité (Bac) sont appelés dans la nuit de vendredi à samedi, rue du Pré-Comtal, au nord de Clermont-Ferrand : trois hommes tentent de s’introduire par effraction dans un abri de chantier. À la vue des policiers, le trio s’enfuit. L’un est rattrapé, mais les deux autres résistent. Un des hommes sort même un tournevis et frappe un des policiers au visage. Le coup, violent, transperce la cloison nasale du fonctionnaire, qui perd beaucoup de sang. Pendant que la victime reçoit les premiers soins, la recherche des deux fuyards s’organise. Ils sont rapidement localisés dans un camp de fortune, près du Nouvel hôpital d’Estaing. Ils sont interpellés, sans difficultés, un peu avant 5 heures du matin. Cloison nasale transpercée Les trois hommes ont été placés en garde à vue dans la foulée. Âgés de 22, 24 et 26 ans, ils sont décrits comme des SDF. Hier après-midi, ils étaient toujours auditionnés dans les locaux de l’hôtel de police clermontois. L’un d’entre eux nie les faits. Après avoir été hospitalisé au CHU de Clermont-Ferrand, le policier blessé est ressorti dans la journée d’hier. Il s’est vu délivrer un certificat de six jours d’interruption temporaire de travail (ITT)source : La Montagne (08 juillet 2012)
Angers (49) : Deux policiers sérieusement blessés
Deux policiers ont été blessés, dimanche matin à Angers, alors qu’ils intervenaient auprès d’un groupe de jeunes alcoolisés. Peu après 2 h du matin, dans la nuit de samedi à dimanche, deux policiers en patrouille repèrent un jeune homme en train d’uriner contre la façade d’un immeuble, à proximité de la place Imbach, dans le centre-ville d’Angers. Ils interviennent pour lui faire des remontrances. Le jeune rejoint un groupe d’une dizaine de personnes et c’est là, qu’un autre jeune se met à les injurier. Ivresse publique et manifeste Les policiers se rendent compte qu’il est saoul et veulent l’interpeller pour ivresse publique et manifeste. Deux jeunes gens se rebellent et frappent un premier policier, puis le second. Projetés à terre, ils sont frappés à coups de pied au visage et au corps. Traumatisme crânien et côte cassée Des policiers sont appelés en renfort et interpellent les deux jeunes agresseurs, âgés entre 25 et 30 ans, domiciliés à Angers. Les policiers blessés sont transportés au centre hospitalier par les ambulances des sapeurs-pompiers. L’un souffre d’un traumatisme crânien et l’autre d’une côte cassée. Ils bénéficient d’une interruption temporaire de travail de 6 et 10 jours. En garde à vue Les deux jeunes agresseurs ont été placés en garde à vue, au commissariat d’Angers. Mais ils n’ont pas encore pu être entendus, du fait de leur alcoolisation. Ils ont été reconnus par leurs victimes et des témoins. Leur audition se fera dans la journée, après une prolongation de leur garde à vue.source : Ouest France (08 juillet 2012)
Vitry-sur-Seine (94) : un policier percuté par le conducteur d’un scooter
Un policier de la brigade anticriminalité (Bac) de Vitry-sur-Seine
(Val-de-Marne) a été sérieusement blessé, samedi 7 juillet, vers 18 h 30
après avoir été volontairement percuté par le conducteur d’un scooter.
Le fonctionnaire souffre d’une double fracture à un poignet et de
multiples contusions. Il s’est vu prescrire 30 jours d’interruption
totale de travail (ITT).
Quelques minutes plus tôt, le conducteur du
deux-roues avait refusé de se soumettre à un contrôle routier avant de
prendre la fuite, au guidon de son engin. Après avoir roulé à
contre-sens de la circulation et sur des trottoirs, le jeune
motocycliste s’est retrouvé face à deux policiers. «Le conducteur a
alors foncé sur les deux fonctionnaires
pour les renverser, relate une source proche de l’affaire. Un des deux a
pu éviter le choc, tandis que le second a été violemment percuté.
L’auteur de ces violences a finalement été interpellé avant d’être placé
en garde à vue».
Source : Le Parisien (08 juillet 2012)
Source : Le Parisien (08 juillet 2012)
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