Bienvenue sur ce blog dont le but est de montrer la dangerosité du métier de Policier à travers des articles de presse, de vidéos et de diaporamas.

Plus de cinq mille d'entre eux sont blessés chaque année en service. Une tendance en hausse.

Aucune des missions auxquelles ils prennent part n'est sans risque.

De même, les militaires de la Gendarmerie Nationale et les agents des Douanes et des Polices Municipales sont soumis aux mêmes dangers. Désormais, le blog s'ouvre à ces autres composantes de la sécurité intérieure.




jeudi 27 novembre 2008

Belfort (90) : Agression d'une policière - un an de prison

Le tribunal correctionnel de Belfort a condamné mardi à un an de prison ferme un SDF de 38 ans, jugé pour violences sur agent de la force publique dans l'exercice de ses fonctions pour avoir frappé une policière de 28 ans. Dimanche, vers midi, des policiers étaient intervenus pour séparer deux individus, en état avancé d'ébriété, dans une rue de Belfort. L'un d'eux avait insulté les forces de l'ordre. Une policière tentait de menotter le SDF, lorsqu'elle avait été projetée à terre, tirée par les cheveux et frappée à la tête. Il avait fallu quatre policiers pour maîtriser l'homme. En récidive légale, il devra purger quatre mois supplémentaires en raison de la révocation d'un sursis. La policière, surtout traumatisée, bénéficie d'une interruption de travail de cinq jours.

source : Le Républicain Lorrain (27 novembre 2008)

mercredi 26 novembre 2008

Le Havre (76) : Une femme en garde à vue pour avoir frappé quatre policiers

Une femme en garde à vue au Havre pour avoir frappé quatre policiers
Une femme de 45 ans, soupçonnée d'avoir frappé notamment avec un couteau, quatre policiers qui voulaient l'empêcher de communiquer depuis la rue avec un détenu, dans la nuit de mardi à mercredi au Havre, a été placée en garde à vue, a-t-on appris de source policière. Les faits se sont produits peu après minuit alors que cette femme parlait bruyamment depuis la rue avec un détenu de la maison d'arrêt âgé de 18 ans. Alerté par les voisins qui se plaignaient du vacarme, le commissariat a envoyé sur les lieux une voiture avec quatre policiers à son bord. Selon la police, la femme a refusé d'obtempérer et a sorti un couteau avec lequel elle a frappé trois policiers, dont l'un a été "sérieusement" entaillé à l'avant-bras. Le quatrième a reçu un coup de pied au visage. Finalement maîtrisée, la femme a été conduite au commissariat où elle a été placée en garde à vue. Elle devait faire l'objet jeudi d'une procédure de comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, notamment pour outrages envers personnes dépositaires de l'autorité publique et violences avec arme.

source : France 3 (26 novembre 2008)

dimanche 16 novembre 2008

Paris (75) : Bagarres entre bandes rivales la nuit dernière à Paris

Une bagarre entre deux bandes rivales s'est produite samedi vers 19h30 dans le Forum des Halles à Paris au cours de laquelle trois policiers ont été légèrement blessés ainsi que l'un des protagonistes, a annoncé samedi la Police urbaine de proximité (PUP).
Selon la PUP, la bagarre a impliqué quelque 25 personnes appartenant à la bande de la Gare du Nord et à une autre bande qui dit s'appeler la "Mafia-Def" (mafia du quartier de la Défense). Les jeunes se sont affrontés à coup de battes de baseball et de gaz lacrymomgène.
Trois policiers ont été légèrement blessés et un des protagonistes de la bagarre, blessé à la clavicule, a été hospitalisé.
La police a procédé à 7 interpellations.
Toujours selon la PUP, une autre bagarre a éclaté vers minuit dans le 17ème arrondissement, impliquant cette fois les bandes rivales des 17ème et 19ème arrondissements.

source : Le Parisien (16 novembre 2008)

mercredi 12 novembre 2008

Carpentras (84) : L'agent a eu la jambe coincée

Lundi, Yousri, un Carpentrassien de 26 ans, était présenté devant le tribunal correctionnel de Carpentras dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate. Il faisait l'objet de six chefs de prévention.
Samedi, aux alentours de 23 heures, une patrouille de la police nationale a vu une Fiat griller un feu sur le boulevard Alfred-Rogier, au niveau de la rue de l'Observance. Ils retrouvent alors le véhicule quelques minutes plus tard à l'arrêt devant un kebab sur le boulevard du Nord.
Le conducteur du véhicule, qui circulait sans assurance, voyant dans son rétroviseur les policiers descendre de voiture, a alors reculé très violemment dans le véhicule des fonctionnaires. Dans le choc, un des deux agents a eu la jambe coincée entre la portière et le bas de caisse de son véhicule, lui occasionnant 3 jours d'incapacité totale de travail.
Le second fonctionnaire tente alors d'interpeller Yousri qui se rebelle et accroche son ceinturon, faisant mine de lui prendre son arme. Pour le maîtriser, les deux agents utiliseront leur matraque.
Placé en garde à vue puis mis en examen, son test d'alcoolémie révèle qu'il a 0,75 mg d'alcool par litre d'air expiré.

L'agent a eu la jambe coincée

Ce n'est pas la première fois que Yousri est présenté devant une juridiction. Son casier présente plusieurs condamnations. Mais deux d'entre elles ne le concernent pas.
L'an dernier, le prévenu avait porté plainte pour un vol de papiers d'identité. Ce qui n'a pas empêché qu'un usurpateur commette des délits au nom de Yousri. Cet imbroglio a donné naissance à une scène surréaliste lors de la lecture de son casier judiciaire. « La condamnation pour défaut de permis dont vous faites état ne me concerne pas Monsieur le Président. » « Et celle pour violences? » « Celle-là, oui.»

Procès renvoyé

La procédure de comparution immédiate le lui permettant, le prévenu a souhaité que son procès soit reporté pour qu'il puisse préparer sa défense.
Me Stéphane Simonin, son avocat, a tenté de lui éviter, en vain, un placement en détention provisoire, comme l'a requis le substitut du procureur. Son procès est renvoyé au 18 décembre.

source : Le Dauphiné Libéré (12 novembre 2008)

Rouen (76) : Un bureau de police incendié

Une tasse de café à la main, les clients du bar jouxtant le bureau de police des Sapins, sur les Hauts de Rouen, regardent depuis le pas de la porte les enquêteurs travailler depuis 13 h. Quelques minutes avant, un feu s'est déclaré dans ce poste. Aucune victime n'a été déplorée : le bureau de police était fermé pour la journée.

Cet incendie, a priori minime selon les sapeurs-pompiers, aurait été nourri par deux foyers, rapidement éteints.

Dégâts importants

Tout l'après-midi d'hier, l'identité judiciaire a effectué les constatations d'usage : photos, relevé d'empreintes éventuelles... Les auteurs ont pris la fuite et, pour l'heure, la police n'a procédé à aucune interpellation.

Une chose est sûre : ce bureau ne rouvrira pas ses portes au public avant longtemps. Car, même minime, l'incendie a provoqué de sérieux dégâts matériels. Notamment à cause des fumées, importantes, qui se sont dégagées. La quinzaine de policiers affectée aux Sapins se retrouve donc au « chômage technique ».
Ce bureau a déjà été la cible de mains criminelles. A l'automne 2005 notamment, durant les émeutes, une voiture-bélier en flammes avait été lancée contre le poste, côté garage. Depuis, des bornes automatiques ont été installées devant. Mais, visiblement, cela n'a pas suffi à faire reculer les incendiaires...

mardi 11 novembre 2008

Millau (12) : Il frappe sa femme et les policiers

Ce Millavois comparaîtra le 17 décembre devant le tribunal correctionnel pour violences conjugales et rébellion. Dimanche, sur les coups de midi, il s'en est d'abord pris violemment à sa femme avant de cogner deux policiers arrivés quelques minutes plus tard pour ramener le calme. Résultat : deux arrêts de travail de sept jours pour les fonctionnaires. L'épouse agressée a été plus légèrement touchée.

source : Le Midi Libre (11 novembre 2008)

lundi 10 novembre 2008

Cahors (46) : Deux policiers agressés

Deux policiers du commissariat de Cahors ont vécu une soirée très agitée, lundi, dans un appartement du Vieux Cahors où ils se sont portés au secours de deux femmes agressées par leurs compagnons. À leur arrivée, les policiers sont tombés nez à nez avec ces quatre personnes dans un état d'ivresse avancé. L'une des deux femmes était plongée dans un coma éthylique et il était urgent d'intervenir. Lorsque les deux policiers ont voulu conduire les auteurs présumés des violences en cellule de dégrisement, au commissariat, ceux-ci se sont violemment rebellés dans les escaliers du bâtiment. Ils ont tout d'abord tenté de précipiter les policiers dans les escaliers, puis s'en sont pris à l'un d'eux en particulier en tentant de le faire passer par-dessus la rambarde. Maîtrisés finalement par les forces de l'ordre, ces individus ont été placés en garde à vue. La personne dans le coma a été transportée au centre hospitalier de Cahors. Les deux hommes comparaîtront le 18 décembre au tribunal correctionnel de Cahors pour répondre de faits de violence sur les deux femmes et de rébellion avec violence sur les deux policiers.

source : La Dépêche du Midi (06 novembre 2008)

Mont-de-Marsan (40) : Deux policiers blessés à coups de poing

CENTRE-VILLE. Deux nuits agitées ce week-end, avec au bilan deux policiers blessés à coups de poing

Course-poursuite en voiture et bris de pare-brise

Les policiers montois sont intervenus ces deux dernières nuits en centre-ville pour interpeller des fauteurs de troubles plutôt violents. Dans la nuit de vendredi à samedi, pour commencer, vers 2 h 30 du matin, c'est un homme âgé d'une quarantaine d'années, conducteur d'un véhicule, qui tente de se soustraire à un contrôle de police. D'abord garé, feux éteints, dans un parking, il prend la fuite à bord de sa voiture pour ne pas être contrôlé par une patrouille. Quelques hectomètres plus loin, pris en chasse par les policiers, il laisse sa voiture dans une petite rue et s'enfuit à pied. Rattrapé par la patrouille avec les clefs du véhicule dans sa poche, il est emmené au poste.

L'homme, un Montois bien connu des services de police, est en état d'ivresse manifeste, mais les policiers ne pourront pas le prouver. Il a en effet refusé de se soumettre au contrôle d'alcoolémie, à la prise de sang et à un contrôle urinaire pour détecter la prise de stupéfiants. Ce qui avec le refus d'obtempérer, constitue trois délits, pour lesquels il est convoqué devant le tribunal en janvier prochain. Il a été libéré samedi.

Bruits de verre en centre-ville.

La nuit suivante, dimanche vers 1 heure du matin, les policiers sont prévenus par des habitants ayant entendu des bruits de verre en centre-ville. Intervenus à trois, ils trouvent un jeune homme de 21 ans qui casse des pare-brise de voitures avec un manche de pioche. Désarmé par les policiers, il résiste à son interpellation et se défend à coups de poing, blessant deux des hommes qui veulent le maîtriser. Pris en flagrant délit de destruction - il a cassé cinq pare-brise -, l'individu a été immobilisé puis conduit en suivant au poste de police, où il a été interrogé. Il se trouvait encore en garde à vue hier soir, en attendant que le parquet ait pris une décision à son égard.

source : Sud Ouest (10 novembre 2008)

dimanche 9 novembre 2008

Oyonnax (01) : un an de prison pour outrages et violences contre des policiers

Il a 20 ans, une personnalité bien noire. Désespérante et peu rassurante pour son avenir.
Mercredi à Oyonnax, suite à une perquisition à son domicile pour des soupçons sur son frère, il s’en est pris aux policiers, a mis un coup de tête à l’un, a gravement injurié sa collègue. Au commissariat, il a encore outragé deux autres fonctionnaires. Un « comportement de quartier », « décontenançant » pour Me Frémion qui assistait les policiers. Cette attitude qu’il observe à l’encontre d’un peu tout le monde au quotidien? a incité le procureur Guérin à demander une peine d’un an ferme et l’interdiction de ses droits et de vivre dans le canton d’Oyonnax pendant cinq ans. Me. Garcia n’acceptait pas cette peine plancher. Pour elle, une peine mixte semblait plus appropriée et surtout, si le jeune homme était coupé de ses proches, il risquait de perdre le peu de repères qu’il détient encore. Le jeune violent a finalement été condamné à un 8 mois de prison et 4 avec sursis.

source : Le Progrès de Lyon (07 novembre 2008)

Roubaix (59) : Policier blessé à la kalachnikov - quinze ans pour le principal suspect

Ali Boulahfa aura finalement quitté le palais de justice de Lille les poches alourdies par quinze ans de détention. Hier, ce prévenu de 24 ans et son avocat s'étaient pourtant entêtés à étriller le dossier et à hurler à l'innocence. Pour de très graves blessures par balle sur un policier le 17 octobre 2003 à Roubaix, et en attendant d'autres dossiers pour braquage, Boulahfa entame une longue nuit en prison.

D'un côté, il y a Emmanuel Riglaire. Représentant les hommes visés par des rafales de kalachnikov il y a cinq ans, l'avocat rappelle les immenses douleurs, les profondes blessures de la principale victime et lance : « J'ai l'honneur de défendre de grands policiers.

» De l'autre, il y a Ali Boulahfa et son avocat, Farid Maachi. Aucun des deux ne peut prendre le risque d'ignorer le martyre d'un membre de la BAC ayant frôlé la mort et pour qui des années seront nécessaires pour se reconstruire. En même temps, le magma bouillonnant en Boulahfa est perceptible. Le prévenu se retient d'hurler pour marteler sa position. Encore et encore.

« Ce jour-là, je n'ai pas tiré, assène un homme encadré par des colosses du Groupe d'intervention de la police nationale. Je n'étais pas dans la voiture d'où les rafales sont parties ! Je ne préparais pas de braquage ! Je n'étais pas là ! Pas là ! » La police soupçonne Boulahfa et deux hommes déjà condamnés en 2006 de s'être, ce soir-là, embusqués pour attaquer des convoyeurs alimentant un distributeur automatique de billets. La confrontation, à la barre, avec Hervé Vlamynck, « patron » de la brigade de répression du banditisme et de la brigade de recherche et d'intervention, à la PJ de Lille, au moment de l'enquête, transforme la salle d'audience en arène. « Au début de nos investigations, Boulahfa est, pour nous, un personnage secondaire, rappelle l'enquêteur. Paradoxalement, les éléments importants le concernant apparaissent après sa fuite. » Notamment une série de dépositions sous X.

« Vite au braquage »

Boulahfa et son avocat s'acharnent à démolir ces « témoignages indirects » et interpellent Vlamynck. « Je ne peux pas jouer le rôle d'Ali Boulahfa », rétorque le policier. Pour justifier un réquisitoire sévère - quinze ans de prison -, le procureur Bedos cite un responsable de l'Office central de répression du banditisme : « Vous avez dans votre région un banditisme de quartier en augmentation. De jeunes garçons qui montent très vite au braquage. » Quelques heures plus tard, le tribunal présidé par Jacques Huard rendra sa décision : quinze ans.

source : La Voix du Nord (08 novembre 2008)

samedi 8 novembre 2008

Epinal (88) : Deux policiers agressés

En intervenant sur une rixe à Epinal les deux fonctionnaires ont essuyé une série de coups.

Jeudi, un peu après 17 h 30, le commissariat d'Épinal est alerté pour une rixe sur la voie publique. Deux fonctionnaires se rendent rue Jules-Méline, dans le quartier de la Vierge, où effectivement deux hommes, visiblement éméchés, se battent. À l'arrivée des policiers, un fonctionnaire et une adjointe, l'un des deux bagarreurs assène un coup-de-poing à son adversaire. Aussitôt, le policier tente de maîtriser l'auteur du coup. C'est alors qu'un troisième individu intervient et s'en prend au policier (coups de pieds dans le ventre). En voulant à son tour s'interposer, l'adjointe est blessée à un poignet. Finalement, l'arrivée des renforts mettra un terme à la bagarre. Il reste que les deux fonctionnaires se sont vu prescrire respectivement trois et sept jours d'ITT.
Interpellés, les Spinaliens de 40 et 46 ans, déjà connus des services, ont été déferrés hier après-midi. Présentés dans la soirée devant le JLD (juge des libertés et de la détention), ils devraient se retrouver mercredi matin devant le tribunal. Pendant leur garde à vue, ils ont reconnu l'intégralité des faits.

source : L'Est Républicain (08 novembre 2008)

mercredi 5 novembre 2008

Epernay (51) : Le chauffard blesse deux policiers

Défaut de permis de conduire en récidive, refus d'obtempérer, mise en danger de la vie d'autrui, infraction à la législation sur les stupéfiants, outrages, menaces de mort et pour finir violences volontaires sur agents de la force publique, en l'occurrence deux policiers du commissariat d'Epernay qu'il a roués de coups…
Telles sont les nombreuses infractions reprochées à un Sparnacien de 20 ans, Hassan Bouali, dont l'arrestation vendredi a donné du fil à retordre aux policiers lancés à ses trousses.
Tout commence vers 10 heures du matin rue de Reims à Epernay. Une patrouille repère Hassan Bouali au volant d'une Citroën AX. Le jeune homme étant bien connu au commissariat, les agents savent pertinemment qu'il n'a pas le permis de conduire. Ils décident de l'intercepter mais le chauffard accélère et prend la fuite vers Magenta dans des conditions périlleuses. Il manque de percuter plusieurs voitures. Des piétons sont obligés de reculer pour laisser passer le bolide qui déboule sur le parking du magasin Leader Price de Magenta. Là aussi, des clients doivent s'écarter. Le fuyard s'arrête, bondit du véhicule, se débarrasse d'un morceau de résine de cannabis (1,20 gramme) avant d'être rattrapé par les policiers.
Ces derniers tentent de le maîtriser sous un torrent d'insultes et de menaces de mort : « Bâtards ! Fils de p… ! Je vais vous tuer », etc... Il leur assène plusieurs coups de pied, tombe au sol avec l'un des policiers qu'il frappe à coups de poing dans les côtes.
Hassan Bouali parvient à se dégager mais il est finalement neutralisé avec une bombe lacrymogène. Le bilan est lourd pour le policier frappé au sol : douze jours d'incapacité totale de travail. Son collègue a subi trois jours d'ITT.
La course-poursuite s'étant terminée à Magenta, commune située dans le ressort du parquet de Reims, Hassan Bouali a fait l'objet d'une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de cette ville. Il a été condamné à dix mois d'emprisonnement dont six ferme avec maintien en détention. Les juges ont également révoqué un sursis de trois mois, soit au total neuf mois ferme à purger

source : L'Union (05 novembre 2008)

Échirolles (38) : Des policiers pris pour cible

Lundi, en fin de journée, une patrouille de police a été la cible de jets de projectiles allée du Limousin à Échirolles. Un adjoint de sécurité a été légèrement blessé.

Vers 19 h 30, cette patrouille aperçoit un homme sur une moto de cross, sans casque, avenue des États-Généraux à Échirolles. Les fonctionnaires tentent alors d'intercepter le motard. Ce dernier ne tient pas compte des injonctions et parvient à prendre la fuite allée du Limousin.
Là, un groupe d'une dizaine de personnes, se dirige vers les policiers et jette sur le véhicule de police divers projectiles (pierres, bouteilles, pavés...).
Le bilan est d'un adjoint de sécurité est légèrement blessé à la tête et d'un véhicule de police endommagé. Personne n'a été interpellé.

source : Le Dauphiné Libéré (05 novembre 2008)

mardi 4 novembre 2008

Vichy (03) : une manifestation dégénère

Trois policiers ont été blessés et une trentaine de personnes interpellées après que des casseurs se sont mêlés à une manifestation contre la politique européenne d'immigration.

Une trentaine de personnes interpellées et trois policiers blessés. C'est le bilan des incidents qui se sont produits lors d'une manifestation menée lundi soir à Vichy contre la politique européenne d'immigration, thème d'une conférence organisée le jour même dans la ville. «Un groupe de plus de 200 manifestants s'est livré durant et après la manifestation à des exactions contre les forces de l'ordre, notamment attaquées à l'aide de projectiles», a expliqué la préfecture de l'Allier dans un communiqué lundi soir. « Trois policiers ont été blessés, dont un par un engin incendiaire. Les sapeurs-pompiers appelés à intervenir ont fait l'objet de jets de pierres», a-t-elle ajouté.

Lors de ces incidents, dus à des «casseurs» sans lien avec la manifestation, ont souligné ses organisateurs, cinq voitures ont été incendiées, les vitrines de plusieurs commerces brisées, des véhicules et des mobiliers urbains endommagés à Vichy et à Cusset (banlieue de Vichy), a poursuivi la préfecture. Les incidents ont entraîné des tirs de gaz lacrymogène par des CRS en faction. Une trentaine de personnes ont été interpellées.

source : Le Figaro (04 novembre 2008)

lundi 3 novembre 2008

Martigues (13) : Deux policiers blessés par un conducteur ivre


Hier soir, un véritable drame a été évité de justesse sur l'A55. A hauteur de Martigues, deux policiers qui intervenaient pour protéger un véhicule accidenté sur la voie de gauche, ont été violemment percutés par un automobiliste qui ne les a pas vus. Un policier a perdu connaissance, le second a été plus légèrement touché.

L'auteur de l'accident, un jeune conducteur âgé d'une vingtaine d'années a été immédiatement placé en garde à vue. Les tests de dépistage à l'alcool et aux stupéfiants se sont révélés positifs. Le jeune homme revenait... d'une rave-party. Sa passagère a été grièvement blessée dans l'accident.

source : La Provence (03 novembre 2008)

samedi 1 novembre 2008

Marseille (13) : Un policier se blesse lors d'une interpellation

Un policier âgé d’une trentaine d’années s’est blessé grièvement ce soir, peu après 18h, alors qu’il se livrait à une course poursuite sur un toit de l’avenue Roger-Salengro (15e). Mobilisé depuis plusieurs jours, les enquêteurs étaient sur la piste d’un trafic de voitures ayant pour épicentre le garage "SAP" situé au numéro de la même artère du quartier de Crottes.

Cinq suspects ont été interpellés lors de l’opération déclenchée, mais plusieurs d’entre eux sont parvenus à s’enfuir. L'un des policiers de la Brigade de recherche spécialisée (BRS) de la Sûreté départementale de Marseille a traversé le toit et a chuté lourdement quatre mètres plus bas. Il a été aussitôt conditionné, puis évacué par les marins-pompiers sur une civière en direction de l’hôpital Nord. L’enquête se poursuit ce soir.

source : La Provence (31 octobre 2008)

Perpignan (66) : Il fonce sur le véhicule de police

Jeudi, vers 18 h 30, les policiers de la BAC (brigade anti-criminalité) effectuaient une patrouille quand ils ont repéré un conducteur au comportement suspect. A leur vue, l'homme a immédiatement accéléré afin d'échapper visiblement à un quelconque contrôle. Pris en chasse par les agents, l'automobiliste a soudain volontairement foncé sur le véhicule de police et l'a percuté, ne faisant heureusement aucun blessé. Là, il a réussi à s'échapper en direction de la cité Peyrestortes où, dans sa fuite, il est entré en collision avec une autre voiture en stationnement.
Mais son équipée ne s'arrête pas là... Un peu plus loin, le fuyard a abandonné sont véhicule et s'est volatilisé à pied, en s'engouffrant dans un immeuble.
Malgré le dispositif de recherches mis en place, les policiers n'ont pu retrouver sa trace. Toutefois, une enquête est ouverte. La voiture n'a pas été signalée volée et son propriétaire devrait prochainement être entendu afin d'identifier le suspect

source : Le Midi Libre (1er novembre 2008)

Vienne (38) : un policier légèrement blessé lors d'un contrôle

Il était 13h 30 hier dans Vienne, quand les fonctionnaires de police veulent contrôler un véhicule Subaru immatriculé dans le Rhône. Celui-ci a en effet été déclaré volé dans le département voisin. Toutefois, quand les policiers s'approchent du véhicule, le conducteur refuse d'obtempérer et passe en force. En même temps, il heurte légèrement un fonctionnaire, avant de s'enfuir de nouveau en direction du département du Rhône, vers Givors.
Un signalement a été diffusé auprès des gendarmes du Rhône pour retrouver le véhicule volé et son conducteur. Quant au fonctionnaire viennois blessé, il a été légèrement touché à un genou.

source : Le Dauphiné Libéré (1er novembre 2008)